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Bienvenue à Hô Chi Minh-Ville
Une ville aux multiples dénominations et orthographes !
Saigon, Saïgon ou encore Sài Gòn pour la version vietnamienne. Et également Hô Chi Minh, Hô Chi Minh City, HCMC, HCM City et Hô Chi Minh-Ville pour la version officielle francisée.
Mais au quotidien, dans les guides de voyage aussi ou encore dans la rue, la majorité des gens et notamment les locaux préfèreront utiliser l’ancien nom, Saïgon.
Pour la version officielle vietnamienne : Thành Phố Hồ Chí Minh (Thành phố = ville). On pourra lire souvent sur les devantures ou bâtiments officiels, la version raccourcie T.P. Hồ Chí Minh.
Saïgon, capitale économique en chiffres

Les quartiers : districts incontournables de Saïgon
Hô Chi Minh-Ville compte 24 arrondissements, certains sont appelés par des chiffres et d’autres par des noms. Découvrez les plus emblématiques.
District 1
Indéniablement le cœur de la ville, historique et commercial. Vous pourrez aussi bien y flâner pour admirer les bâtiments coloniaux, que vous y rendre pour un rendez-vous d’affaires.
Indéniablement le cœur de la ville, historique et commercial. Vous pourrez aussi bien y flâner pour admirer les bâtiments coloniaux, que vous y rendre pour un rendez-vous d’affaires.
District 2
Incontestablement le quartier qui facilite la vie des expatriés occidentaux grâce à la présence d’enseignes et d’écoles internationales. De nombreuses résidences - appartements ou villas - offrent un style de vie confortable et sécurisé. Bien que récent, ce quartier est encore en pleine mutation avec les projets de Thu Thiem et Innovation District ou Empire City.
Incontestablement le quartier qui facilite la vie des expatriés occidentaux grâce à la présence d’enseignes et d’écoles internationales. De nombreuses résidences - appartements ou villas - offrent un style de vie confortable et sécurisé. Bien que récent, ce quartier est encore en pleine mutation avec les projets de Thu Thiem et Innovation District ou Empire City.
District 3
Ce quartier s’inscrit dans le prolongement du district 1. Sa particularité ? Il longe le canal au nord de la ville. C’est le lieu idéal pour contempler les temples bouddhistes au coucher du soleil.
Ce quartier s’inscrit dans le prolongement du district 1. Sa particularité ? Il longe le canal au nord de la ville. C’est le lieu idéal pour contempler les temples bouddhistes au coucher du soleil.
District 4
Un arrondissement qui nous plonge encore au cœur de la vie vietnamienne ! Anciennement détenu par la mafia et réhabilité par le gouvernement, ce quartier a aujourd’hui la réputation d’avoir les meilleurs et les plus abordables stands de nourriture de la ville ! Dîner dans ces ruelles, c’est s’accorder une véritable expérience gustative et culturelle !
Un arrondissement qui nous plonge encore au cœur de la vie vietnamienne ! Anciennement détenu par la mafia et réhabilité par le gouvernement, ce quartier a aujourd’hui la réputation d’avoir les meilleurs et les plus abordables stands de nourriture de la ville ! Dîner dans ces ruelles, c’est s’accorder une véritable expérience gustative et culturelle !
District 5
Aussi appelé le Little Chinatown saïgonnais ou encore Cho Lon, c’est ici que la culture chinoise se perpétue : pagodes du pays de l’Empire du Milieu totalement luxuriantes, rue dédiée aux herboristeries pour se soigner naturellement, restaurants de dim sum aux recettes ancestrales… Une ballade dans ce quartier garantit un dépaysement total.
Aussi appelé le Little Chinatown saïgonnais ou encore Cho Lon, c’est ici que la culture chinoise se perpétue : pagodes du pays de l’Empire du Milieu totalement luxuriantes, rue dédiée aux herboristeries pour se soigner naturellement, restaurants de dim sum aux recettes ancestrales… Une ballade dans ce quartier garantit un dépaysement total.

Son architecture
Façonnée par une histoire complexe, l’architecture au Vietnam est aussi riche que la diversité ethnique dont elle s’est nourrie. À Saïgon, l’histoire urbanistique a véritablement commencé durant la colonisation française, pour s’enrichir au fil des ans. Trois styles principaux sont reconnaissables.
Le style colonial
Dès leur arrivée, dans les années 1860, les Français ont réaménagé la ville à leur manière : quadrillage méthodique et construction de nombreux ouvrages. Le visage de Saïgon fut dès lors irrémédiablement marqué par l’architecture coloniale, qui a légué à la ville de nombreux bâtiments dont la physionomie étonne toujours dans cette région du monde.
Le plan de la ville est resté intact et il reste aujourd’hui d’innombrables vestiges de la présence française. Les bâtiments les plus caractéristiques se situent autour de Dong Khoi : la Poste centrale, le marché Ben Thanh, l’Opéra, l’hôtel Majestic…
Emblématiques d’un riche passé colonial, ces édifices confèrent au centre-ville une personnalité désuète et pleine de charme, qui a fait de Saïgon la fameuse « perle de l’Extrême-Orient ».
Le plan de la ville est resté intact et il reste aujourd’hui d’innombrables vestiges de la présence française. Les bâtiments les plus caractéristiques se situent autour de Dong Khoi : la Poste centrale, le marché Ben Thanh, l’Opéra, l’hôtel Majestic…
Emblématiques d’un riche passé colonial, ces édifices confèrent au centre-ville une personnalité désuète et pleine de charme, qui a fait de Saïgon la fameuse « perle de l’Extrême-Orient ».
L’architecture moderniste
Mel Schenk, historien américain de l’architecture attribue l’essor du modernisme vietnamien « à une culture d’indépendance et d’optimisme quant à l’avenir ».
On considère les années 1940 à 1975 comme l’âge d’or de ce courant. Au cours de cette période, de nombreux bâtiments publics ont été construits, ainsi que des habitations, qui constituent encore aujourd’hui une large partie du paysage urbain. La fierté nationale était alors forte, et les principales constructions de cette époque ont été conçues par des architectes vietnamiens.
Au-delà des formes modernistes carrées, des détails ont été ajoutés (stores, écrans solaires légers), présentant un modernisme unique au monde.
De cette époque datent, par exemple, la façade du Palais de la réunification, la sculpture de Turtle Lake, ou la General Science Library.
On considère les années 1940 à 1975 comme l’âge d’or de ce courant. Au cours de cette période, de nombreux bâtiments publics ont été construits, ainsi que des habitations, qui constituent encore aujourd’hui une large partie du paysage urbain. La fierté nationale était alors forte, et les principales constructions de cette époque ont été conçues par des architectes vietnamiens.
Au-delà des formes modernistes carrées, des détails ont été ajoutés (stores, écrans solaires légers), présentant un modernisme unique au monde.
De cette époque datent, par exemple, la façade du Palais de la réunification, la sculpture de Turtle Lake, ou la General Science Library.
Les maisons tubes
Elles pullulent à Hô Chi Minh-Ville, mais d’où vient cette particularité architecturale ?
Ce sont souvent les règles d’urbanisme qui donnent à une ville ses principales caractéristiques. Au Vietnam, la taxe foncière est calculée en fonction de la largeur de la façade sur la rue, d’où l’étroitesse extrême de ces habitations, 3 à 6 mètres seulement. La profondeur des maisons, qui a donné ce nom de « tube », permet de diviser l’espace en trois compartiments (la boutique, l’atelier, l’habitation), séparés par une cour intérieure, afin de fournir de la lumière naturelle et une bonne ventilation.
Ce sont souvent les règles d’urbanisme qui donnent à une ville ses principales caractéristiques. Au Vietnam, la taxe foncière est calculée en fonction de la largeur de la façade sur la rue, d’où l’étroitesse extrême de ces habitations, 3 à 6 mètres seulement. La profondeur des maisons, qui a donné ce nom de « tube », permet de diviser l’espace en trois compartiments (la boutique, l’atelier, l’habitation), séparés par une cour intérieure, afin de fournir de la lumière naturelle et une bonne ventilation.
Si pour certains c’est une aberration architecturale, beaucoup restent très attachés à ce type d’habitat, et nombreux sont les cabinets d’architecture à travailler sur ce sujet propre au Vietnam.
Quelques repères d’un « nouvel » expatrié à Saïgon
Le monde, traverser une rue, le bruit, les klaxons, le flot de scooters qui s’entrecroisent, les bus illuminés, le va-et-vient des containers sur la Saïgon River, le « Saïgon kiss », les taxis, acheter en million de VND.
Les restaurants de quartiers, les cafés et les chaises en plastiques rouges, les marchés, les marchands déambulant, les restaurants de Pho, le tra da dit « tcha da », la multitude de saveurs culinaires, les fruits frais, la sauce au poisson Nuoc-mâm, la sauce soja.
Les fleurs, les arbres de bougainvilliers violets, les frangipaniers et leur merveilleuse odeur, les arbres pour la fête du Têt, le transport de composition florale sur les scooters,
Les karaokés, la musique, les fêtes dans les rues, les traditions, les valeurs, les mythes, les tenues hao dai, les chapeaux coniques.
Les tongs, le poncho, la sieste sur les scooters.
Les tours illuminées au milieu des maisons traditionnelles, les centres commerciaux, les rues typiques et les rues dédiés à un produit type comme le vélo ou les antiquités.
Le soleil, la chaleur, la pluie ou les averses et ses « flaques » d’eau, la clim.
Les sourires, la gentillesse, les rencontres, la sécurité.
L’histoire et les empreintes françaises, le développement, les changements rapides, la grandeur et la richesse du pays …
Les karaokés, la musique, les fêtes dans les rues, les traditions, les valeurs, les mythes, les tenues hao dai, les chapeaux coniques.
Les tongs, le poncho, la sieste sur les scooters.
Les tours illuminées au milieu des maisons traditionnelles, les centres commerciaux, les rues typiques et les rues dédiés à un produit type comme le vélo ou les antiquités.
Le soleil, la chaleur, la pluie ou les averses et ses « flaques » d’eau, la clim.
Les sourires, la gentillesse, les rencontres, la sécurité.
L’histoire et les empreintes françaises, le développement, les changements rapides, la grandeur et la richesse du pays …